Comment avoir la véritable confiance en Soi ?

Therapeute corporel et emotionnel Nice

La confiance en soi est perçue de nos jours comme une qualité, un trait de personnalité, dont certains ont la chance d’être bien doté et d’autres moins, voir pas du tout.

On parle de “développer” la confiance en soi, comme si c’était quelque chose d’extérieur à nous, qu’il fallait trouver et ensuite faire pousser dans notre jardin intérieur comme une graine, dans l’espoir d’avoir les bons gestes pour qu’elle grandisse et donne son fruit ou sa fleur.

La confiance en soi n’est pas une faculté à acquérir ou à développer.

Mais de quoi parle-t-on au juste lorsque nous demandons à avoir confiance en nous ?

Une notion fondamentale pour comprendre ce que c’est la confiance en Soi

Il est important de distinguer le Moi Supérieur (guide intérieur, Âme, petite voix…) et le petit Moi (l’ego).

Le Moi Supérieur est connecté à notre nature profonde et sait parfaitement quel est le sens de notre vie.

C’est une écoute verticale du Soi, reliée à l’Intelligence Universelle (l’univers, la vie, Dieu…).

La confiance en Soi signifie que l’on se fie à ce que l’on ressent à l’intérieur de soi.

C’est se référer à cette partie de soi qui est là pour nous, qui sait parfaitement le chemin que nous devons emprunter pour nous mener à notre épanouissement. Ce n’est pas quelque chose à conquérir à l’extérieur de soi ou à faire grandir en soi.

La confiance en Soi est une partie de nous, immuable, quoi qu'il arrive à l’extérieur, contre vents et marées. Ce n’est pas un élément à faire grandir à l’intérieur de nous et rester sur ses gardes que cela ne s’échappe pas ou que nous ne le perdions pas.

Dans les périodes difficiles, d’obscurité, s’en remettre au Soi Supérieur, nous ouvre le chemin et nous permet d’avancer malgré le brouillard épais et la peur au ventre.

Il n’y a rien à faire de particulier, pas d’exercice, pas de protocole. C’est une écoute intérieure au lieu de chercher l’avis d’autrui. La réponse est en chacun de nous mais nous n’avons pas appris à entendre sa voix, inaudible à notre mental.

Nous naissons tous avec cette confiance c’est à dire cette reliance à notre Moi Supérieur. Au fil de nos expériences de la vie, nous oublions cet instinct inné, au profit du conditionnement familial et social. Mais il n’est pas perdu, il est là, étouffé sous des couches de croyances limitantes.

C’est ainsi que commence la quête vaine d’aller chercher cette confiance ailleurs, comme une personne qui cherche ses lunettes partout alors qu’elles sont au bout de son nez !

Vous avez sûrement vécu des situations où votre bouche dit “oui” alors que vous ressentez en vous une crispation, une douleur, une boule à la gorge, un noeud à l’estomac etc. qui dit “non”. 

C’est cette partie de vous qu’il convient d’écouter. Même si dire “non” ne rentre pas dans les cases de la politesse, de la bienséance. Ecouter ce qui se dit à l’intérieur de soi est notre vérité de l'instant. Ne pas y prêter attention, c’est se nier.

Cela demande juste humilité et lâcher prise du petit Moi, qui croit tout savoir, et veut rester aux commandes, alors qu’il détient aucune vérité. 

Le faux guide intérieur : le petit Moi

Le petit Moi c’est ce personnage intérieur qui s’est construit sur nos blessures, nos “échecs”, nos doutes et nos peurs. Il s’est donné pour mission de nous garder en sécurité et de ne pas reproduire des souffrances passées..

Il se croit séparé de la Source et que tout repose sur lui.

Nous lui avons donné tout le pouvoir et même nous lui avons laissé la clé de notre voiture (notre corps). Il sait parler très fort, même crier, c’est pour cette raison que nous nous référons qu’à lui. Tandis que notre Moi Supérieur murmure.

Le souci c’est que nous fonctionnons en mode automatique, transporté par un chauffeur qui ne sait pas conduire et qui n’écoute pas le GPS (notre Moi supérieur).

Alors, nous cherchons ailleurs une personne ou quelque chose qui pourrait nous guider parfaitement. C’est la quête de la confiance en soi que l’on cherche éperdument à l’extérieur de nous.

Comment faire pour écouter notre Guide Intérieur ?

Nous n’avons pas appris à écouter la partie de nous qui sait.

La nature a tout prévu pour mettre à disposition de l’être humain tout ce dont il a besoin.

J’utilise depuis de nombreuses années les élixirs du Dr Bach. Ce sont des fleurs sauvages qui agissent au niveau vibratoire pour faciliter l’équilibre entre notre corps, le mental et notre âme.

Parmi ces 38 fleurs, nous avons la Gentiane. Une fleur que j’affectionne tout particulièrement.

Gentiane : la fleur de la confiance en Soi

Voici une présentation tirée du livre “Sur les traces du Dr Bach” de Julian Barnard.

La gentiane fleurit en août et en septembre. Elle choisit des conditions difficiles.

C’est une plante petite, vulnérable, pas apte à s’affirmer face à la compétition. C’est pourquoi elle se cantonne aux pentes de collines dont les sols calcaires légers conviennent aux herbes courtes. 

Les feuilles sont vert foncé de forme lancéolée, et les tiges teintées de rouge. Cette couleur traduisent la force de détermination et l’implication dans la vie. La feuille d’une plante est l’organe principal de la respiration (ce sont ses poumons) et tant que tel c’est l’endroit où les éléments se rejoignent pour constituer l’énergie vitale. Les gentianes sont petites mais capables et pleines de ressources.

La fleur présente 5 pétales qui s’ouvrent au soleil et se ferment quand il pleut ou que la température chute.

De par sa position droite, la fleur présente une piste d'atterrissage où les insectes viennent se poser : la Gentiane a un système précis de pollinisation et elle prouve un lien fort avec le monde et l’avenir. Les fleurs restent sur leur tige après la floraison, bien qu’elles se flétrissent et se fanent. Cela évoque la ténacité de la gentiane qui poursuit le but de sa vie.

Elle dit “tiens bon, continue à faire l’effort”.

Et tandis que la Gentiane est souvent brûlée par la sécheresse de l’été ou foulée au pied sur le chemin du pèlerin, elle est déterminée à continuer et elle le fait vraiment bien.

C’est une plante de colline, elle se propage sur les pentes.

C’est la vue d’en-haut qui permet de prendre de l’altitude par rapport aux difficultés de la vie.

Mais on ne peut avoir cette perspective qu’en prenant de la hauteur. Quand on s’assied à côté de cette plante sur les collines calcaires, il est plus facile de voir notre place dans le monde.

Gentiane : la fleur de la reliance

Elle aide à se relier à notre Moi Supérieur, en nettoyant les parasites sur la ligne de communication avec Soi. Elle agit au niveau vibratoire et énergétique.

Ainsi, notre instinct inné de confiance se libère petit à petit des chaînes de limitations qui le retenait prisonnier au plus profond de nous.

Je vous offre un bilan boosteur au téléphone afin de clarifier votre situation actuelle et donner un coup de starter pour aller de l'avant et reprendre confiance en vous.

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